L’échelle de dépression post-partum d’Edimbourg peut vous aider à faire le point sur votre situation.
Pour répondre à ces questions, il est nécessaire de tenir compte de vos ressentis sur ses 7 derniers jours, et non uniquement ceux d’aujourd’hui.
Il est important d’y répondre honnêtement et personnellement.
Pendant la semaine qui vient de s’écouler :
1. J’ai pu rire et prendre le choses du bon côté :
2. Je me suis sentie confiante et joyeuse en pensant à l’avenir :
3. Je me suis reproché, sans raison, d’être responsable quand les choses allaient mal :
4. Je me suis sentie inquiète ou soucieuse sans motif :
5. Je me suis sentie effrayée ou paniquée sans raison :
6. J’ai eu tendance à me sentir dépassée par les évènements :
7. Je me suis sentie si malheureuse que j’ai eu des difficultés de sommeil :
8. Je me suis sentie triste ou malheureuse :
9. Je me suis sentie si malheureuse que j’en ai pleuré :
10. Il m’est arrivé de penser à me faire du mal
Pour obtenir votre score, vous devez additionner les chiffres correspondant à vos réponses aux questions.
Le score est compris entre 0 et 30. Plus celui-ci est élevé, plus le risque de dépression post-partum est important. Si votre score est supérieur ou égal à 11, il est possible que vous souffriez d’une dépression post-natale.
Cependant, ce test ne remplace pas un diagnostic. Il permet de prendre du recul sur votre situation.
Si votre score confirme vos ressentis quant à votre situation, il est important de demander de l’aide.
Sources :
raduction française : Guedeney N, Fermanian. (1998). Validation Study of the french version of the EPDS: new results about use and psychometric properties. Eur Psychiatry, 13: 83-9 Version originale : Cox J.L, Holden J.M, Sagovsky R. (1987). Detection of postnatal depression: Development of the 10-item Edinburgh Postnatal Depression Scale. Br J of Psychiatry, 150: 782-786.